Comment m'est venue l'idée de cuisiner des knishes de pommes de terre ? Avec l’annonce d’un troisième confinement, les projets de vacances à l’étranger sont devenus comme un lointain mirage. A vrai dire, le seul décor que j’arrive à visualiser pour les dix prochaines années de ma vie est celui de la grisaille parisienne, qui elle, est bien fidèle à son poste.
Alors aux grands maux, les grands remèdes ! Ce dimanche, ma mère et moi avons décidé de sortir l’arme ultime pour pouvoir nous évader le temps d’un déjeuner, LA recette anti-baisse de moral qui marche à tous les coups.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});Embarquement direction New-York, j’ai nommé : les knishes ! « Les quoi ? ». Oui, je vous entends, derrière votre écran, en train d’essayer de prononcer ce mot à la sonorité exotique.
Les knishes, cela vient du yiddish. Inventés par les Juifs ashkénazes d’Europe de l’Est, et popularisés outre-manche après les vagues d’immigration du début du XXème siècle, ces chaussons farcis sont devenus un classique de la street-food new-yorkaise.
Ronds, rectangles ou carrés, à la viande, aux épinards, ou à la purée, de la taille d’une assiette ou d’une chouquette ; ils peuvent se décliner à l’infini !
Toujours très appréciés, ils sont pratiquement inratables. Je dis pratiquement, car j’ai voulu m’aventurer à faire ma propre pâte il y a quelques mois, et cela a été un fiasco complet. Mais si, contrairement à moi, vous ne vous amusez pas à changer les recettes, je vous assure que tout devrait bien se passer !
Munissez-vous d'un presse-purée pour écraser les pommes de terre ainsi que d'un grand saladier en verre.
Il vous faudra également une plaque à pâtisserie pour disposer les knishes avant de les enfourner.
Retrouvez la recette entière ci-dessous, et n'hésitez pas à m'envoyer vos photos ou à me taguer sur les réseaux sociaux !
Pour un menu 100% new-yorkais, essayez la recette du Cheesecake au caramel.